Du sol aux cimes

Tout public à partir de 9 ans | Infos et inscription

Dimanche 29 septembre | 14h30>16h30 

RDV à 14h15 Rue du Bourg, place de l’église, La Méaugon

Prévoir de bonnes chaussures et une tenue adaptée à la météo.

A la croisée des sciences de la Terre et du Vivant, cette exploration guidée sur les rives boisées du ruisseau de la Salle et de la retenue d’eau du barrage de Saint-Barthélémy, vous invite à observer la flore pour mieux comprendre les relations intimes qui unissent le sous-sol aux cimes des arbres.

Avec Guimauve & Aubépine – Botanique et médiation végétale

Reportage photo de la sortie 

Brèves de balade

14h30 ce dimanche, le temps est frais et un peu de vent souffle.
Nous sommes quand même 16 sous la conduite de Julie de Guimauve et Aubépine à démarrer cette exploration guidée autour du barrage de St Barthélémy.

On remonte la nuit des temps, des millions d’années, en observant le talus et les arbres pour découvrir la formation des sols.

On remonte la nuit des temps, des millions d’années, en observant le talus et les arbres pour découvrir la formation des sols.

…et on découvre l’infiniment petit, heureusement que des loupes sont dans le sac de notre guide.

…mais aussi des choses énoooormes !
L’évolution au cours des temps passe par les fougères.

Les affleurements du bords du lac amènent à parler de géologie…

Une écrevisse sera l’objet de bien d’attention de M le Maire de La Méaugon. Rassurez vous, elle sera remise en liberté en bonne santé.

Comment reconnaître un arbre en utilisant une clé de détermination (à retrouver sur le site de l’ONF ! ).
Exercice pratique devant un hêtre.

Et même découverte des ombellifères, en l’occurrence une Grande Berce, et de ses propriétés gustatives (voire aphrodisiaques !) qui ne sont pas (nous a t-on dit), à négliger !
Attention, à ne pas confondre avec la Berce du Caucase qui est invasive et toxique.

C’était déjà sur le chemin du retour et on a fait un arrêt sur les champignons.

Une dernière causette, cela faisait déjà plus de deux heurs que nous divaguions et la balade se termine.
Frais, mais secs… que demander de plus, une heure plus tard l’averse pointait ses premières gouttes.